« Comment se faire des amis » de Dale Carnegie est un des bouquins qui m’a beaucoup impacté personnellement. Ce livre reflète beaucoup d’idée primordiale de Manners Maketh Consultant pour une personne et ses relations humaines tant personnelles comme professionnelles. Je pense que tout le monde devrait lire un livre pareil pour avoir les bonnes manières. Je vais résumer ce livre en 4 différents articles, dans mon idée de faire des articles de facile lecture
Ce premier article concerne les trois techniques fondamentales pour influencer les autres. 3 techniques précieuses et indispensables dans ta vie personnelle et professionnelle.
Principe 1 : ne critiquez pas, ne condamnez pas, ne vous plaignez pas.
Au long des différents missions que j’ai fait pour différents clients, je me suis toujours mis à leur disposition pour comprendre leur tâches et leur inquiétudes. Chacun à sa façon de faire les choses, ni meilleur ni pire, tout simplement différent. Une critique ou remarque positive et constructive est toujours bien. Mais je n’ai jamais débarquez chez un client en critiquant leur façon de travailler, en essayant de leur donner une leçon. Sinon je prends mes responsabilités avec un positivisme et une force d’amélioration toujours dans la bonne humeur. On ne me verra presque jamais me plaindre, le client a toujours raison.
Principe 2 : complimentez honnêtement et sincèrement.
Les gens qui me connaissent savent que je ne bavarde pas beaucoup, donc quand je dis une chose, c’est vraiment sincère. Et si je dois complimentez quelque chose, je le fais de tout cœur avec une grande sincérité.
Principe 3 : motivez souvent pour faire ce que vous proposez.
Il est très important d’éveiller un ardent désir chez la personne que vous voulez influencer. Je reprends un paragraphe du livre : Un philosophe a dit que « manifester sa personnalité est pour l’homme une nécessité dominante » Alors, pourquoi ne pas utiliser cette tactique en affaires ? Quand il nous vient une idée brillante, laissons croire à notre client ou à notre collaborateur qu’elle vient de lui. Qu’il la cuise et la mitonne, comme la petite fille préparait sa bouillie. Il la considérera comme sienne, il en sera fier, il l’aimera…et peut-être en réclamera-t-il deux assiettées, lui aussi.